Mes Tests JV

Test Dragon Ball Fusion sur 3DS

Entre Dragon Ball Heroes et Dragon Ball Super, la licence se porte plutôt bien au pays du soleil levant. Une aubaine pour nous car cela nous offre de belles opportunités comme l’arrivée de Dragon ball Fusion sur 3DS chez nous, un an après sa sortie au Japon.

C’est dispo aujourd’hui ! #DBFusions #dbz #dragonball #3ds #nintendo #gaming

Une publication partagée par Thomas (@tomiiks) le

Dragon Ball Fusion nous offre une histoire inédite. Deux jeunes garçons (nous et notre pote Pinich) réunissent les dragon ball et font le voeux de créer un tournoi avec les meilleurs guerriers de l’univers. Malheureusement le voeu a un peu foutu le bordel en créant un nouveau monde où se croisent tous les guerriers dont forcément tout le roaster de Dragon Ball, DBZ et Dragon Ball Super. On incarne donc un guerrier que l’on peut personnaliser et qui fait donc partie des cinq classes disponibles (humain, saiyen, extra terrestre, démon et Namek) qui ont chacune leurs caractéristiques.

La prise en main est plutôt instinctive, on se déplace en volant dans des environnements très vastes alternant des combats face à des teams aléatoires et des missions qui permettent de faire avancer l’histoire. Les graphismes sont plutôt dans le haut du panier pour la 3DS. En tout cas, le jeu ne souffre d’aucun ralentissement sur ma New 3DS. Une fois n’est pas coutume, le jeu est uniquement en 2D. Vous aurez beau actionner le curseur 3D, les graphismes ne bougeront pas d’un iota.

Le gros morceau du jeu, ce sont les combats qui se déroulent en 5 vs 5. Très inhabituel pour un jeu Dragon Ball, le système de combat est très sympa, mêlant corps à corps, super attaque et stratégie liée au sytème d’action au tour par tour. On possède également une jauge qui une fois rempli à moitié permet de soit lancer une attaque Zenkai soit une fusion à 5 créant par cette occasion un guerrier surpuissant. Car oui, comme le titre du jeu l’indique les fusions sont au coeur du jeu. Au delà de la danse et des potalas, il existe également un bracelet développé par Bulma qui permettra des fusions aussi improbables qu’exceptionnelles.

DB FUsion

Et c’est là que le jeu devient une drogue. On se met à faire des fusions dans tous les sens et à collectionner les combattants car oui, tous les personnages où presque de l’univers de dragon Ball sont « recrutables » dans son équipe. En vrai, Dragon Ball Fusion est construit comme un Pokemon. La montée en puissance se fait sentir au fil des heures passées sur le jeu que ce soit via le level up de chaque perso accédant ainsi à des attaques surpuissantes ou aux fusions toujours plus baddass qu’il est alors possible de réaliser. En parlant de techniques, celles-ci peuvent être récupérées à la fin de chaque combat sur les combattants vaincus.

Bref, même si Dragon ball Fusion est un poil répétitif de par sa multitude de combat, je passe un bon moment sur le jeu. Son gameplay se prête très bien au jeu sur portable et le coté collectionnite aigüe fonctionne bien sur moi. Après une dizaine d’heures de jeu, je ne vois pas encore la fin de l’histoire et il me reste encore un nombre élevé de personnages à recruter. Petite info, le patch day one du jeu offre plusieurs combattants surpuissants de Dragon Ball Super (Vegetto Blue, Black Goku, Zamasu, Perfect Zamasu, Trunks SSJ2) qui gâchent nos premiers pas dans Dragon Ball Fusion en le rendant beaucoup trop facile. Je vous aurais prévenu.

Bouton retour en haut de la page