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Test Final Fantasy XV sur PS4 Pro

Que dire de Final Fantasy XV… Beaucoup d’encre a coulé sur les Internet. J’ai également pas mal partagé mon avis sur le blog et sur Twitter notamment. Mon expérience se résume dans les différents Screenshots ci-dessous. Un Platine que j’ai obtenu avec plaisir, un OST fantastique que j’ai acheté (un bail que je n’avais acheté de « musique ») et des screenshots en pagaille.

Malgré tous ces défauts dues à un développement chaotique par plusieurs équipes successives sur dix ans, il n’en reste pas moins que j’ai adoré le voyage que m’a proposé Square Enix à travers Noctis et sa bande.

Avant de vous lancer dans le jeu, regarder le film KingsGlaive, Il s’agit ni plus ni moins de l’introduction du jeu !

Certes le contenu de l’histoire principale est court par rapport à la licence (15h/20h) mais il y a du contenu supplémentaire qui vous tiendra au moins le double en terme d’heure (collecter les 13 armes du Lucis, obtenir les armes légendaires, explorer les dédales, capturer les deux poissons légendaires dans des parties de pèche très sympa et surtout mener à bien la centaine de chasses disponibles). Bon Ok, je zappe quand même les quêtes remplissages où il s’agit de dépanner des random guys sur le bord de la route ou les quêtes types « Peux tu me ramener des flageolets ? » VERIDIQUE.

Contrairement à FF XIII lui aussi énormément critiqué, l’open World est cette fois accessible dès le début pour se resserrer en mode couloir dans un rush épique. En effet dans FF XIII il fallait se taper 15h de couloirs avant d’arriver dans un open world. Du coup l’un et l’autre ne convient pas pour les joueurs. Non ! En faite les deux conviennent, c’est juste que le joueur A est diffèrent du joueur B (etc.) et  qu’ils ne peuvent pas être tous contentées en même temps. Il n’en reste pas moins qu’un open world avec 2 villes (dont une, Altissia » disponible en instance), ça fait tache quand même.

A noter que l’univers de Final Fantasy XV est trans-média. En effet tout ne s’arrête pas au jeu PS4, Il y a :

  • Le jeu mobile : Final Fantasy Justice Monsters Five
  • Le mini jeu Retro (PS4 et Xbox One) : Final Fantasy XV A King’s Tale
  • Le film d’animation : Final Fantasy XV KingsGlaive
  • L’animé : Final Fantasy XV Brotherhood

En faisant ce choix, et en occultant nombre d’informations des autres médias au sein du jeu lui-même, il en a découlé des trous scénaristiques important dès le début du jeu. De la même façon, la fin du jeu élude bon nombre d’événements qui à coup sûr seront dévoilés dans des DLCs. On sait déjà qu’il y en aura trois dédiés chacun à l’un des comparses de Noctis.

N’écoutez pas les critiques ultra négatives ni les critiques ultra positives. Le chapitre 13 ne vous donnera ni la nausée ni des boutons et s’inscrit dans une logique scénaristique intéressante. La vérité se trouve surement entre les deux. Faites vous votre propre avis. Un jeu clivant est forcément un jeu qu’il faut découvrir.


Bonus : Aller lire l’excellent article de MerlantFrit.net sur FF XV (spoiler inside).

Cohérent du début à la fin, Final Fantasy XV est un grand jeu sur la perte de l’insouciance et, surtout, l’acceptation de cette perte.


 

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