[Gamescom 2017] Assassin’s Creed Origins me parle à nouveau !
Assassin’s Creed Origins fut le deuxième jeu que j’ai testé à la Gamescom après Dragon Ball FighterZ. Peu emballé avant de poser mes mains sur la manette de la Xbox One X, j’ai tiré une belle grimace quand j’ai du rendre la manette. Car oui, ce petit moment passé avec Bayek en Egypte m’a donné envie d’en découvrir plus. Et cela même si, j’ai dû explorer qu’une minuscule portion de la carte.
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Alors pourquoi ça m’emballe. Tout simplement parce que le jeu s’oriente de plus en plus vers l’action RPG. Des combats de boss, un soupçon de fantasy, un arbre de compétence, des loots, des animaux à dépecer pour se confectionner armes et tenues, l’apparition de quêtes annexes auprès de marchand, etc. Et puis, je crois bien que c’est mon premier jeu vidéo où je peux monter à dos de chameau !
Et puis, il y a le système de combat qui est pas mal bouleversé. On a droit dans Assassin’s Creed Origins à un système plus souple, plus actif voire même agressif selon votre façon de jouer. On retrouve un sytème de combo fait d’attaques rapides ou puissantes, d’esquive et de blocage. Et puis bordel, cette attaque d’Oasis où je décochais des flèches depuis mon cheval lancé au galop fut un gros kiff !
Non vraiment ce nouvel Assassin’s Creed Origins a de sérieux atouts pour retourner tous mes aprioris. Le déclic a eu lieu lorsque dans un trailer j’ai vu Bayek affronter un cobra géant. Ouais ! Là ça me parle ! Il est grand temps pour moi de redonner une chance à cette licence que j’avais perdu de vue depuis Assassin’s Creed II (& Brotherhood).