J’avais adoré Star Wars Battlefront nottamment pour sa restitution fidèle de l’univers et pour son côté cinématographique. A chaque partie, je me suis cru plongé dans l’un des films nottamment grâce à une immersion sonore de folie. C’est donc avec curiosité que j’ai testé Star Wars Battlefront II sur PC à la Gamescom. Curieux… car je ne savais pas trop qu’en attendre vu que le mode solo ne m’a pas été présenté. Un up graphique ? Un gameplay modifié ? Une liberté accrue ?
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Et bien ce fut un peu de tout ça. La mission qui m’a été proposée m’a plongé au coeur d’une bataille spatiale dantesque. Eh oui, on dit bonjour au mode Assaut de SW Battlefront II. Le but, je crois, était d’anéantir une plate-forme spatiale de l’empire. Mais avant d’arrivée jusque-là, plusieurs objectifs successifs sont à réaliser. La mission dans son ensemble est scénarisé pour les deux camps. Dans ce cas précis, j’ai du tour à tour, escorter des vaisseaux alliés, détruire des générateurs de bouclier, éliminer des mini-croiseurs, etc dans un ordre que je ne me rappelle pas. Tout simplement, parce que ça partait dans tous les sens.
Il faut à la fois faire attention aux joueurs adverses mais aussi à toutes les menaces représentées par l’IA qui se fera une joie de vous aligner également. Heureusement le respawn est rapide. Et si l’on accumule suffisamment de points, il est même possible de piloter le Faucon millenium ou le X-Wing de Poe. Grisant ! Sérieusement, j’ai pris une claque en y jouant, l’immersion est folle. Les objectifs sont cools et permettent de nous garder sous pression pendant toute la partie !
Visuellement c’est toujours aussi bluffant. Il n’a pas une pétouille de ralentissement malgré tout ce qui se passe à l’écran. Après, je crois que cela tournait sur PC, à voir la config qu’il y a derrière. Quant au gameplay, je n’ai pas vu de changement majeur ou de changement tout court. La prise en main de notre vaisseau est toujours aussi complexe pour moi et il m’a fallu un temps d’adaptation pour reprendre mes marques.
Je ne pensais pas acquérir le jeu mais, ma foi, cet essai m’a hypé comme jamais. Du coup, hop un jeu de plus à jouer en novembre prochain.