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[Retro] Les 5 mangas qui ont bercé ma jeunesse

Honnêtement je ne me rapelle pas qu’elle a été le tout premier manga que j’ai eu l’occasion de lire. Qu’à cela ne tienne, je souhaite vous faire partager les cinq MANGA qui ont bercé mon enfance et mon adolescence (et oui Naruto, Bleach et compagnie sont venus bien après). Alors oui, je me suis limité à cinq mais j’aurais pu également parlé de Shaman King, Full Metal Alchemist, Le nouvel angyo onshi, Chobits, etc. Mais parfois il faut faire des choix :p

Franchement si tu ne les as pas lu, tu as raté quelque chose !

Dragon Ball (Glénat – 34 volumes en Perfect Edition)

Dragon Ball et Dragon Ball Z évidemment ! Si vous suivez mon blog depuis un bout de temps, ce ne sera pas une surprise de voir apparaître ce manga dans la liste. Il m’a inspiré toute ma jeunesse, m’a montré qu’être du bon coté était une bonne chose et que chercher à se dépasser pour atteindre ses buts était une vraie philosophie de vie. Rigolo et naïf dans sa période Dragon Ball, un peu plus sérieux et mature dans Dragon ball Z, Toryama nous a offert une belle fresque qui continue à l’heure actuelle sous le titre de Dragon Ball Super (1000x mieux en manga qu’en Anime)

DBZ Perfect Edition

Dans un monde fantastique semblable à la Terre et peuplé de créatures plus étranges les unes que les autres, un petit garçon à la force herculéenne et doté d’une queue de singe croise un jour la route d’une jeune fi lle. Celle-ci s’est lancée à la recherche de sept mystérieuses boules de cristal. Car il est dit que quiconque les réunira pourra appeler le dragon sacré et exaucer son voeu le plus cher. (Glénat)

Noritaka le roi de la baston (Glénat – 18 volumes)

Ha Noritaka ! Un manga dans la plus pure tradition Japonaise. Un looser qui deviendra un expert en art martiaux, des boobs qui prennent du volume de tome en tome et une histoire qui prône encore une fois que rien n’est impossible et qu’à force d’entrainement on peut devenir quelqu’un de fort. En plus de tout cela, ce manga est une petite bible des sports de combats. On y apprends beaucoup de chose notamment les points forts et points faibles de plusieurs disciplines ou encore l’histoire des boxes chinoises. Bon et puis le manga à une touche comique que l’on retrouve dans chaque tome. impossible de ne pas décrocher un sourire avant de refermer chaque bouquin.

Noritaka

Noritaka raconte l’histoire d’un jeune lycéen qui, dans les premières pages, est maigrelet, peu attirant (il se fait notamment surnommer « caca »), et amoureux d’une fille de sa classe (Nakayama). Et parce qu’elle lui dit détester les faibles, il décide, par désir de ne plus en être un et de l’impressionner (par son courage, sa force), d’apprendre les arts martiaux. Il rencontre alors Maruyama, qui lui enseigne le muay thaï. Et plonge dans un univers où chaque combat le fait rencontrer un adversaire plus fort que le précédent. (Wkipédia)

Love Hina (Pika Edition – 14 volumes)

Plus de 6 millions d’exemplaires vendus, Love Hina n’est pas passez inaperçue à l’époque. Je me rapelle encore que j’ai lu par hasard le premier tome à la Fnac. Un geste motivé uniquement par le fait que quelqu’un avait reposé ce volume dans le rayon avant d’acheter les cinq premiers tomes d’un coup. Ce manga largement comique apporte un vrai vent de fraîcheur parmi toutes les œuvres que je lisais à l’époque. Un monde réel, des tranches de vie, de la joie, de la peine, la vie !

Love Hina

Keitaro, 19 ans, a échoué par deux fois au concours d’entrée de l’université de Tokyo, Tôdai. Mis à la porte par ses parents, il espère que sa grand-mère, propriétaire d’un hôtel, acceptera de l’héberger. Mais surprise, l’établissement est devenu un pensionnat pour jeunes filles… dont Keitarô devient vite l’homme à tout faire ! Parviendra-t-il enfin à intégrer l’université pour tenir la promesse qu’il a faite enfant ?… (Pika Edition)

Hoshin l’investiture des dieux (Glénat- 23 volumes)

Hoshin fait partie de ces mangas sans prétention au début qui au fil des tomes prennent une ampleur incroyable, captivant toujours plus son lectorat. Sans spoiler la fn du manga prouve clairement que l’auteur avait déjà tout prévu dès le premier tome. Ses personnages ni bons ni mauvais qui suivent leur propre dessein et les choix parfois cruels que devra prendre le héros font d’Hoshin l’investiture des dieux une oeuvre vraiment très surprenante à lire. Elle se base sur le roman fantastique chinois de la dynastie Ming même si l’auteur s’est approprié l’oeuvre en effectuant de nombreux changements.

Hoshin

Au XIème siècle avant Jésus-Christ, dans la Chine mythologique, Zhou, l’actuel empereur, a succombé au charme de la vénéneuse Daji, une démone qui affame le peuple. Mais les Immortels de Kunlun, exaspérés par cette situation, décident d’en finir une bonne fois pour toutes. Ils chargent Taigong-Wang, le plus jeune d’entre eux, d’une mission périlleuse : emprisonner les 365 sous-fifres de Daji pour affaiblir son pouvoir. Mais Taigong-Wang, dilettante et intelligent, a des raisons personnelles d’en vouloir à Daji. Il décide donc d’aller directement affronter la démone. (Glénat)

Samouraï Deeper Kyo (Kana – 38 volumes)

Oublier les shonens à la Naruto ou à la Bleach où ça discute avant de se battre. Ici le héros principal n’hésitera pas à se débarrasser de tout ceux qui se dresseront devant lui en une attaque. Son but ? vous le découvrirez bien assez tôt. Il s’agit d’une petite perle même si la fin reste un peu confuse avec les retournements de situation et la montée en puissance de tous les protagonistes. Il n’en reste pas moins que Samouraï Deeper Kyo est une belle plongée dans le Japon Médiéval.

samuraideeperkyo01

Un jeune pharmacien, Kyoshiro Mibu, rencontre une jeune femme qui se dit asthmatique et souhaite la soigner. Mais cette femme se révèle être en fait Yuya Shiina, une célèbre chasseuse de prime, « celle qui se trouve partout sur la route de Tokai ». Elle croit avoir reconnu en Kyoshiro le portrait du grand meurtrier Kyo aux yeux de démon, l’homme aux 1 000 victimes…(Wkipédia)

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