Test Astro’s Playroom sur PS5
La PlayStation 5 est arrivée à la maison il y a quelques jours. Après avoir fait un tour d’horizon des accessoires de la console il est temps de vous parler du premier jeu auquel j’ai joué. Il s’agit évidemment d’Astro’s Playroom, véritable ode à l’univers PlayStation. Pré-chargé sur toutes les consoles, il s’agit d’un plateformer qui met en évidence toutes les innovations de la nouvelle manette, la DualSense.
Ceci, tout en redécouvrant l’histoire de PlayStation. En effet, tous les collectibles sont des consoles ou des accessoires de la marque PlayStation. D’ailleurs une zone spéciale permettra de revoir toutes ces pièces de collection comme si l’on se baladait dans un musée. Mais pour acquérir tout ceci, il va falloir venir à bout des 4 mondes qui constituent l’aventure d’Astro’s PlayRoom. Ceux-co représentent chacun une partie de la PS5 (le CPU, le SSD, la mémoire et la partie refroidissement). Chacun des mondes à sa propre identité. C’est mignon, c’est joli et les niveaux bien que simplistes sont très agréables à parcourir. On se prend vite au jeu et l’on fouille un peu partout pour trouver tous les artefacts. Et je ne vous parle pas du boss de fin qui est un véritable hommage au CD de démo de la PS1.
Comme je vous disais plus haut, tout ceci a pour but de nous faire découvrir les fonctionnalités de la DualSense. Ainsi j’ai découvert avec étonnements l’utilisation des nouveaux moteurs de vibrations dit « retour haptique », les gâchettes adaptatives ou encore le nouveau haut parleur et micro intégrés dans la manette.
Le plus fou reste quand même les gâchettes adaptatives (L2 et R2). Elles se bloquent, elles proposent un cran d’arrêt à mi courses ou encore elles peuvent montrer de la résistance. Dit comme ça, vous avez peut être du mal à comprendre, du coup je vais vous donner des exemples concrets. Par exemple, quand on tire à l’arc, on sent la tension de la corde en appuyant sur R2. Lors des épreuves d’escalades, si l’on appuie trop fort alors la prise se brise, lorsque l’on fait décoller la fusée, la pression sur les gachêtte doit être plus forte pour atteindre le point max.
Le retour haptique n’est pas en reste sur Astro. Par exemple lorsqu’il pleut, on a réellement l’impression que les gouttes de pluie nous tombent dessus. Les ploc ploc des gouttelettes sont simulées par de toutes petites impulsions dans la manette. C’est vraiment génial ! De la même façon, la sensation lorsque l’on patine est juste hallucinante. On dirait vraiment que l’on trace la glace avec son patin. L’immersion est à son paroxysme.
Voilà, oui j’ai été emballé par ce petit jeu gratuit qu’est Astro’s Playroom. D’une part parce qu’il me parle à moi, joueur de PlayStation depuis la PS1 avec ces 1000 références (collectibles et plus d’une 60aine de mini scènes rejouées par les Astrobots et cachées dans les niveaux) et d’autres part parce qu’il met en valeur la manette de jeu la plus innovante de ces trente dernières années. Alors franchement ne passez pas à côté et jouez-y avant de lancer Spider-Man Miles Morales, Demon’s Souls ou Godfall.
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